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Articles récents

GUEULES de BOIS par TEMPS BLEU

5 Juillet 2024 , Rédigé par l'Espace Orlando

Exposition à l’ESPACE ORLANDO

55 passage Orlando - Place de l’Eglise

Saint-Jean-Lespinasse, Lot (46 400).

Entrée libre

Téléphone : 05 65 38 74 33 – site Internet : http://espaceorlando.over-blog.fr

 

Du vendredi 16 août au dimanche 8 septembre 2024 ;

de 15 à 19 heures, sauf lundi

 

 

« GUEULES de BOIS par TEMPS BLEU »

Sculptures de Carole PETIT

Peintures de Nicolas MONJO

 

Carole PETIT vit au plus proche de la nature, sculpte le bois, le rehausse de peinture ou de matériaux récupérés ; elle crée des personnages qu’elle réunit dans une famille, une tribu de lanceurs d’alerte, aux accents poétiques, au charme des expressions vives, douloureuses ou enjouées, aux regards profonds.

Nicolas MONJO peint un monde fantastique, improbable, où les personnages (et les animaux) à la fois joyeux et turbulents résistent à la surpopulation, souvent enfermés, écrasés par le cadre même du tableau. Ils veulent s’échapper, on sent qu’ils vont y réussir ; ils nous regardent droit dans les yeux, on ne peut pas les éviter.

Réunies dans l’Espace Orlando, les œuvres de ces deux artistes évoluent dans des « univers » qui se complètent et se répondent. Sentinelles de notre époque troublée, leurs personnages nous surprennent par leur beauté et leur humanité.

Sculptures de Carole PETIT - Peintures de Nicolas MONJO
Sculptures de Carole PETIT - Peintures de Nicolas MONJO
Sculptures de Carole PETIT - Peintures de Nicolas MONJO
Sculptures de Carole PETIT - Peintures de Nicolas MONJO

Sculptures de Carole PETIT - Peintures de Nicolas MONJO

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Exposition OEUVRES en DIALOGUE

1 Juillet 2024 , Rédigé par l'Espace Orlando

Exposition à l’ESPACE ORLANDO,

 juillet, août 2024.

55 passage Orlando - Place de l’Eglise

Saint-Jean-Lespinasse, Lot (46 400).

Entrée libre

Téléphone : 05 65 38 74 33 – site Internet : http://espaceorlando.over-blog.fr

Parking / Accès aux personnes à mobilité réduite

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Du mardi 16 juillet au dimanche 11 août 2024 ; de 15 à 19 heures, sauf lundi

« ŒUVRES en DIALOGUE »

Sculptures de Hélène van DONGEN

Eaux-fortes de Kees OKX

Hélène van DONGEN est sculptrice en céramique. Les formes sont de géométries, de constructions fortes et harmonieuses, parfois même semblables à des architectures. Les mariages de couleurs et de textures sont équilibrés, séduisants : on voudrait parfois se saisir de la sculpture ; ou même, si l’on avait le pouvoir d’être miniaturisé, y pénétrer. Pour cette exposition Hélène a réalisé des œuvres qui dialoguent avec leurs sources d’inspiration. Sur les cimaises des salles de l’Espace Orlando est présent pour la première fois en France un ensemble de créations de gravures à l’eau-forte de Kees OKX (1939-2015). Des photographies de Thomas BRILLANT et de Dominique NACHEZ, des peintures de Pascal GIRAC, artistes vivants du Lot, illustrent et complètent le thème du dialogue choisi par leur amie Hélène van DONGEN.

Exposition OEUVRES en DIALOGUE
Exposition OEUVRES en DIALOGUE
Exposition OEUVRES en DIALOGUE
Exposition OEUVRES en DIALOGUE
Exposition OEUVRES en DIALOGUE
Exposition OEUVRES en DIALOGUE
Exposition OEUVRES en DIALOGUE

CUEILLE et ORLANDO - L'Espace d'un Refuge

22 Octobre 2025 , Rédigé par l'Espace Orlando

Jusqu’au 2 novembre 2025

les vendredis, samedis et dimanches de 14 à 18 heures.

« CUEILLE et ORLANDO,

 l’Espace d’un refuge »

Une exposition à l’initiative de l’Association Orlando, inscrite au programme de la 9ème édition du Festival Résurgence, initiée par le Service Culture de CAUVALDOR, communauté de Communes, sous le titre ETERNEL REFUGE.

La formation artistique de Georges Cueille, né en 1927, commence à l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de Limoges (dessin, peinture, sculpture, décoration). Viendra ensuite un séjour à Paris, à l’Académie de la Grande Chaumière puis à l’Ecole Nationale Supérieure Arts Décoratifs de la rue d’Ulm. Georges épouse Maïa Drachkovitch, sa condisciple de l’Atelier Cathelin de la Grande Chaumière.

1960 : Georges et Maïa Cueille quittent Vallauris, où ils avaient pris la suite de l’atelier de céramique de Jacques Innocenti, et s’établissent dans le Lot à Saint-Céré, plutôt qu’en Corrèze d’où Georges est originaire.

Georges et Maïa produisent des céramiques aux décors figuratifs ou ornementaux, dans un atelier au cœur de Saint-Céré, place du Mercadial. A ce jour les plus anciens se souviennent encore du « potier de Saint-Céré » et de la boutique qui sera fermée en 1974.

Peter Orlando (1921-2009) est Américain et pose le pied en France en 1944, soldat participant à la fin de la guerre. Stationné à Paris, il épouse Denise Delgoulet (1921-2017), jeune femme du quartier des Batignolles. Plutôt que de poursuivre sa formation artistique aux Etats-Unis, il sera domicilié chez son épouse, sera admis aux Beaux-Arts dès 1948.

Peter Orlando, après une formation à la Manufacture Nationale de Sèvres en 1950, ouvre avec Denise un atelier-boutique situé dans le 17ème arrondissement de Paris. Ils vont créer des céramiques de 1953 à 1968, aux décors abstraits et géométriques.

Les couples Cueille et Orlando se fréquentaient au Salon des Ateliers d’Art de la capitale, où ils exposaient leurs créations. Lorsqu’ils cessent la production de céramique, Peter et Georges prennent des itinéraires différents. La céramique laisse la place à la peinture ; Maïa prend le pinceau à son tour.

Le hasard voudra que les deux couples se retrouvent voisins bien plus tard dans le Lot, quand Peter et Denise Orlando s’installent dans cette même ville de Saint-Céré, pour trouver « refuge » loin de Paris.

A l’Espace Orlando les œuvres présentées réunissent à nouveau les quatre amis dans leur « Eternel Refuge ».

Des céramiques richement décorées des deux couples sont à découvrir dans les vitrines. Aux cimaises de deux étages sont exposées des peintures de Peter, Maïa et Georges.

La peinture de Peter Orlando est caractérisée par une atmosphère de charme et de poésie. Dans ses paysages ou ses natures mortes la réalité est présente, mais ne fait que nous effleurer, car son monde est presque naïf, dans un effet « brouillard » où parfois les choses flottent dans une lumière étale.

Maïa Cueille s’empare de motifs animaliers ou botaniques dont la précision graphique s’impose en premier plan conduisant le regard vers de grands paysages emprunts de poésie lyrique. Alliant une touche miniaturiste à la maîtrise de la lumière et des volumes, la peinture de Maïa conduit dans les instantanés de son monde apaisé, joignant rêve et réalité.

L'œuvre de Georges Cueille est une exaltation de la couleur, souvent réhaussée d’un noir graphique et structurant. Sa peinture au couteau à la riche matière fait vibrer la toile de reliefs accrochant la lumière dans des compositions savamment équilibrées autant dans les paysages, les natures mortes que les œuvres abstraites.

Georges peint encore ; dans cette exposition ses toiles sont proposées aux amateurs : paysages, natures mortes, nus féminins et abstractions colorées.

Georges CUEILLE - Bouquet de fleurs rouges - 2008 - huile sur toile

Georges CUEILLE - Bouquet de fleurs rouges - 2008 - huile sur toile

Georges CUEILLE - Lavandes sur bord de baie- 2003 - huile sur toile

Georges CUEILLE - Lavandes sur bord de baie- 2003 - huile sur toile

Peter Orlando - Château de Val - 2002 - huile sur toile

Peter Orlando - Château de Val - 2002 - huile sur toile

Peter Orlando - Stabile - céramique, fil de fer. Années 1960

Peter Orlando - Stabile - céramique, fil de fer. Années 1960

MEMOIRE de TRACES OUBLIEES

24 Juillet 2025 , Rédigé par l'Espace Orlando

MEMOIRE de TRACES OUBLIEES
MEMOIRE de TRACES OUBLIEES
MEMOIRE de TRACES OUBLIEES
MEMOIRE de TRACES OUBLIEES

Du mardi 5 au dimanche 31 août 2025

de 15 à 19 heures, tous les jours sauf lundi

 

« MEMOIRE de TRACES OUBLIEES »

Sculptures par Jean-Michel RIBEYROLLES

Avec un hommage à Denise et Peter ORLANDO.

Des céramiques du couple et des peintures de Peter

sont exposés à la Mezzanine.

L’atelier de Jean-Michel RIBEYROLLES est posé sur une colline au-dessus de la vallée de la rivière Bave, affluent de la Dordogne. Perché dans un environnement à la fois minéral et végétal, loin de l’agitation urbaine, le créateur y trouve sérénité et motifs de stimulation artistique.

Le sculpteur s’exprime sur son inspiration et sa pratique :

« Mon univers est profondément inspiré par le monde néolithique, les représentations grand format des premières traces de l’homme, les dolmens, les statues menhirs ou les imposants cairns. Qui sont ces bâtisseurs, avec quelles techniques et connaissances ont-ils pu créer ces formes ? C’est tout le champ libre laissé par le silence à ces questions qui est source d’inspiration, de dialogue, de recherches. Et plus proches de nous, le charme et la spiritualité des temples des 11ème et 12ème siècles du Japon.

A l’Espace Orlando, sur deux niveaux, ses sculptures appartiennent à des univers distincts, qu’il a nommés :

  • Miroirs d’énigme. Des pièces rondes, à poser ou accrocher, selon le modèle. Douceur de la forme et force des matières, bois et métal poli, acier ou aluminium.
  • Arcs-en-ciel noirs. Noirs car la technique est intervenue pour modifier la couleur originelle du bois. Celles de l’arc-en-ciel sont effacées, fusionnées : le noir vibre et devient couleur en majesté.
  • Les gardiens de la Terre. Des créations de dimensions variées, dressées sur leur socle, telles des messagers bienveillants et protecteurs.
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GISELA LEITNER

24 Juillet 2025 , Rédigé par l'Espace Orlando

GISELA LEITNER
GISELA LEITNER
GISELA LEITNER

 

Du dimanche 29 juin au dimanche 27 juillet 2025

de 15 à 19 heures, tous les jours sauf lundi

GISELA LEITNER

Peintures, gravures, tapisseries

Gisela LEITNER vient d’Allemagne, de Altdorf ; elle aime préciser qu’elle doit son initiation, sa formation artistique à des maîtres Français. Sa révélation à l’âge de 16 ans, fut celle d’une tapisserie de Jean Lurçat, lors d’une exposition à Munich. Quatre ans plus tard, en 1963, Gisela intégrait l’Ecole Nationale d’Art Décoratif, à Aubusson (Creuse). Michel Tourlière y était directeur depuis 1960, à la suite de Jean Lurçat, qui veillait encore sur le devenir de cette école et le talent naissant des élèves.

La tapisserie fut tout naturellement le medium choisi en premier par la jeune artiste, et la pratique qu’elle a toujours exercée depuis. L’étape originelle, qui précède le « carton » de tapisserie est celle du dessin et de la peinture. Gisela LEITNER a aussi mené sa carrière dans l’exercice des disciplines variées, s’exprimant autant en peinture, gravure et lithographie. Aujourd’hui, elle est ravie de pouvoir présenter aux amateurs un large éventail de ses créations, à proximité du château des Tours de Saint-Laurent, la demeure Lotoise de Jean Lurçat. Il fut l’auteur de son émerveillement premier ; Gisela lui rend hommage à présent dans l’Espace Orlando tout proche.

L’univers pictural de cette artiste est le reflet de sa fusion avec le milieu naturel, avec le végétal et le monde animal. Dans ses créations majoritairement non figuratives, elle exprime son appartenance à l’harmonie du monde et l’équilibre des éléments ; les titres de ses œuvres nous l’indiquent : Reflet dans l’eau ; Végétal ; Notre terre ; Houblon. La réalisation figurative est présente aussi ; les plantes, les fleurs, quelques animaux sont bienvenus sur les murs de l’Espace Orlando.

 

Dans cette exposition, sur trois niveaux, Gisela LEITNER réunit un bel ensemble de ses œuvres. Lithographies, gravures et peintures sont accompagnées de broderies ainsi que de tapisseries réalisées sur son propre métier à tisser.

 

 

 

 

 

Exposition par MARIE BAZIN

22 Mars 2024 , Rédigé par l'Espace Orlando

Exposition par MARIE BAZIN
Exposition par MARIE BAZIN
Exposition par MARIE BAZIN

Exposition à l’Espace Orlando

55 passage Orlando / Place de l’Eglise / Saint-Jean-Lespinasse, Lot (46 400).

EXPOSITION-VENTE

Entrée libre

Téléphone : 05 65 38 74 33 – site Internet : http://espaceorlando.over-blog.f

Parking / Accès aux personnes à mobilité réduite

Du samedi 6 au dimanche 21 avril 2024

de 15 à 19 heures, tous les jours sauf lundi

« OU VONT NOS RÊVES QUAND ILS S’ENVOLENT ? »

Peintures et collages de Marie BAZIN

 

L’artiste Marie BAZIN, vit et produit ses œuvres dans le sud de la Corrèze. Elle participe à de nombreuses expositions collectives ou personnelles, qui l’amènent parfois loin de son atelier, en France ou à l’étranger, Italie ou Allemagne par exemple.

Dans les salles aménagées de l’Espace Orlando, Marie BAZIN expose et propose aux amateurs les peintures et collages de ses « univers oniriques » variés, mettant à profit de la sorte les possibilités de ce lieu sur ses trois étages.

Elle a choisi pour cette nouvelle exposition de partager avec vous 20 ans de rêves, d’évasion et de couleurs avec une sélection d’œuvres qui marquent son parcours d’artiste peintre et collagiste.

Plusieurs séries sont présentées : « Contes de fées », « Les Marcheurs », quelques toiles de ses toutes premières séries avec « Le regard des poissons sur le monde », « Mes petites bonnes femmes», « Les Loufok’s ».

Vous découvrirez également ses collages (1er prix aux Journées internationales du collage 2023, au Centre d’art à Fresselines), ainsi que ses dessins pleins de fantaisies « Les Blablablas », « Les Dames » et d’autres surprises que Marie BAZIN vous réserve.

Marie BAZIN est à l’aise autant avec la peinture qu’avec le collage de papiers ou d’images ; sa technique fait appel à la matière, au jeu de transparences ou de superpositions.

Elle connaît précisément la date de naissance de sa vocation : le 9 septembre 2004 quand, dit-elle « Je me suis réveillée avec des toiles en tête ; je me suis précipitée pour acheter pinceaux et matériel, j’ai créé trois tableaux dès le premier jour ! ». Et la frénésie créative était en marche!

 

Et à cette question qui donne le titre de l’exposition, « Où vont nos rêves quand ils s’envolent? », l’artiste nous répond : « Dans chaque coup de pinceau, chaque image découpée, chaque œuvre créée au fil du temps, chaque histoire que je me raconte quand naît la toile. Mais aussi, je l’espère, dans chaque histoire que vous vous raconterez en visitant l’exposition, le temps de vous y perdre ou de vous y retrouver. »

 

Dans une exposition d’œuvres de Marie BAZIN vous êtes immergé dans un monde de fantaisie, de situations improbables et de récits colorés, vous êtes captif d’un voyage sans fin ; vous avez envie de passer d’un sujet à l’autre et d’y revenir sans cesse, persuadé d’avoir encore des messages à découvrir, des scènes cachées à explorer.

 

Marie BAZIN se fera un plaisir d’accueillir et accompagner les visiteurs dans son exposition, les 10 et 21 avril à partir de 17 heures.

 

 

Site internet de l’artiste : https://www.mariebazin.com

Werner VAN HOYLANDT / Louis 2VERDAL

2 Août 2023 , Rédigé par l'Espace Orlando

 

Du 8 au 30 juillet 2023

Tous les jours sauf lundi, de 15 à 19 heures

 

 « Werner Van Hoylandt

et Louis 2Verdal »

 

Deux artistes investissent avec malice les trois niveaux de l’Espace Orlando. Le visiteur, l’amateur d’art découvriront une exposition inédite pour laquelle Werner Van Hoylandt réunit ses peintures et ses dessins, tandis que son complice et ami Louis 2Verdal présente un florilège de sculptures, toutes de bois, métal et anecdotes.

Humour et fantaisie participent du monde imaginaire des deux artistes.

Werner Van Hoylandt a depuis longtemps quitté sa Belgique natale ; il est installé près de Saint-Céré dès 1983. Il réalise principalement des peintures à l’huile, et de nombreux trompe-l’œil. Van Hoylandt ne nierait pas l’influence des grands maîtres Flamands du XVIIème siècle, et son style de prédilection est indéniablement le naturalisme ; nombre de ses peintures, toutes réalisées sur panneau de bois dans la tradition ancienne, sont proches de l’hyper-réalisme. Une simple huître ouverte pose pour un tableau comme si elle était une vedette : on aurait envie de la croquer ! Werner Van Hoylandt maîtrise de façon remarquable la lumière qui baigne ses tableaux, la limpidité et la transparence d’un verre ou d’un flacon, la finesse et la précision des détails sur le moindre objet représenté. Le réalisme chez lui est tel, que l’on a vu des visiteurs intrigués par un bout de ruban adhésif translucide que l’artiste aurait oublié d’ôter ! Voilà un aspect de la touche personnelle de Van Hoylandt qui est indéniablement celle de l’humour ou la dérision. C’est en restant devant un tableau et en l’observant que le spectateur admirera et découvrira le détail qui le fera sourire ou lui livrera la clé d’un message qu’il n’avait pas perçu au premier regard. Dans cette boule de verre, n’y a-t-il pas un étrange reflet ? Mais oui, c’est comme dans un minuscule miroir déformant, on y voit le peintre en action !

Les réalisations en trompe-l’œil et ses représentations de poupées ont valu au peintre d’être exposé aux côtés d’artistes célèbres comme Dali, Chagall ou Magritte. Il a participé à plusieurs éditions du Salon d’Automne de Paris et exposé en France et Belgique, aux USA, Taïwan, au Japon, à Londres en galerie.

Dans cette exposition de l’Espace Orlando, Van Hoylandt par ailleurs passionné de cyclisme présente des dessins originaux qui ont illustré en 2022 le livre « Le Tour – l’Hommage : entre ciel et enfer », réalisé avec Frans Vandamme et Jean-Jacques Varagne. Volume édité avec l’aide de la communauté de communes CAUVALDOR.

La sculpture cohabite très bien avec la peinture. Si l’on se rend chez Louis 2Verdal, l’atelier encombré et la cave qui lui sert de galerie sous sa maison, regorgent de trésors. Il y a des poissons articulés, des têtes ou des personnages vigoureux, des racines splendides, des abstractions en volume. Dans l’Espace Orlando, Louis sans la particule, écrivons donc 2Verdal, dispose une grande variété de ses œuvres qui sont rarement de bois ou de métal, mais surtout de bois ET métal, car les deux matériaux sont mêlés, emmêlés, liés, imbriqués. Chaque sculpture recèle d’émotion, de beauté de la matière qui n’est plus brute, car 2Verdal l’a maîtrisée, domptée, refaçonnée. Parfois la souche, la racine, la chute de bois a été extraite d’un petit monticule, de nombreuses fois brassé, jusqu’au jour où l’inspiration vient d’un coup à l’artiste ; et voilà le vulgaire bout de bois qui devient forme et sujet en dialogue avec son créateur.

 

« Louis 2Verdal appartient à cette lignée de grands marginaux de l’art, révoltés, qui expriment leur liberté en dehors de tout courant conventionnel et de toute compromission. Créateurs forcenés, jusqu’à épuisement, ils fonctionnent par le profond ressenti qui monte de leurs tripes jusqu’au bout de leurs doigts et qui leur procure à la fois l’inspiration et la technique. Ils poursuivent leurs rêves d’enfant à travers une réalisation libérée de toute contrainte et de jugement esthétique, au milieu des hommes, parfois déconcertés. » Claude Daval

 

2Verdal façonne sans répit. De ses mains naissent des personnages expressifs, des gloutons incongrus, des manifestants vociférant. Plus loin, des animaux fantastiques parfois engagés dans des activités inhabituelles, côtoient poissons ou coqs de métal lustré et bois verni.

 

Pour d’autres sculptures, le bois est lié au métal, qui l’enveloppe ou le pénètre, boule ou volume géométrique, et devient ce que l’artiste nomme « emballage ». L’œuvre, une fois chez l’amateur pourra être positionnée selon son envie : les boules sont libres, souvent posées sur un socle tournant. Libres aussi sont les volumes, chaque face se révélant différente selon le point de vue.

 

Louis 2Verdal propose aussi une série de neuf carnets de dessins, dont le dernier, « Des outils qui font des sculptures » publié en 2022, a été édité avec l’aide de la communauté de communes CAUVALDOR.

 

2Verdal vit à Saint-Céré (Lot) et depuis les années 1980 expose en nombreux lieux, galeries et centres culturels, autant en France qu’en Allemagne ou aux Iles Canaries.

Werner VAN HOYLANDT / Louis 2VERDAL
Werner VAN HOYLANDT / Louis 2VERDAL
Werner VAN HOYLANDT / Louis 2VERDAL
Werner VAN HOYLANDT / Louis 2VERDAL
Werner VAN HOYLANDT / Louis 2VERDAL
Werner VAN HOYLANDT / Louis 2VERDAL
Werner VAN HOYLANDT / Louis 2VERDAL

RESONANCES

2 Août 2023 , Rédigé par l'Espace Orlando

Du 5 au 27 août 2023, tous les jours sauf lundi, de 15 à 19 heures

 

 « RESONANCES »

 

Sur les trois niveaux de l’Espace Orlando le peintre Jeremy Annett présente son univers « Résonances ». De belles toiles de format carré, qui conviennent bien aux compositions structurées, bandes colorées superposées dans des tonalités sourdes, ou de généreux aplats aux teintes vives. Sur certaines on verrait des horizons multiples, dont la ligne de partage varie en hauteur d’une toile à l’autre. Ou bien, différemment, les verticales en plis successifs pourraient être des paravents ou le soufflet d’un accordéon. Ailleurs, les vibrations chromatiques sont presque audibles, quand l’accord des couleurs qui chantent entre elles arrive à faire sonner la note juste. Cette même intention du peintre s’applique à d’autres inspirations où l’équilibre de la composition entre en jeu, ainsi que les recherches de textures. Le travail de la lumière et de la matière est remarquable.

Les peintures de Jeremy Annett offrent aux amateurs un voyage dans un monde entre rêve et réalité, où la justesse de la couleur est primordiale, et les compositions simples forcent l’admiration. C’est la couleur qui dirige l’orchestre.

L’orchestre ? Oui car Annett est un mélomane, il travaille à l’écoute de musique qui souvent l’inspire. Peut-être ne l’a-t-il pas imaginé, mais sur certaine toile, ne verrait-on pas des touches de piano, ou les notations d’une partition ?

« L’importance est de faire rêver. La peinture est un langage qui se lit avec les yeux, le cœur et l’âme ; un langage qui ne peut être parlé ». J. ANNETT

Dans cette même exposition l’artiste ne se prive pas d’autre part d’une envie, très occasionnelle, de peindre un paysage ou une nature morte. Sur les cimaises de l’Espace Orlando le visiteur découvrira ou retrouvera un autre univers de Jeremy Annett, celui d’une figuration plutôt libre, où la douceur des couleurs domine, où les formes des objets se superposent, se marient entre elles. Les objets sont là, mais ils ne sont présents que pour ramener l’espace à l’intimité des sentiments, des émotions.

RESONANCES
RESONANCES
RESONANCES
RESONANCES

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ABSOLUE INCERTITUDE, exposition de peintures de Françoise UTREL

18 Avril 2023 , Rédigé par l'Espace Orlando

Du samedi 22 avril au dimanche 7 mai 2023

de 15 à 19 heures, tous les jours sauf lundi

 

 

 « Absolue incertitude »

 

L’artiste Françoise Utrel vit et produit ses œuvres dans le nord du Lot. Elle participe à de nombreuses expositions collectives ou personnelles, qui l’amènent parfois loin de son atelier, en France ou même en Russie, comme en 1991.

Dans les salles aménagées de l’Espace Orlando, Françoise Utrel expose et propose aux amateurs les peintures et dessins de trois « univers » différents, mettant à profit de la sorte les possibilités de ce lieu sur ses trois étages.

Ses trois « univers » trouvent leur ligne fédératrice dans la formulation du titre de l’exposition, « Absolue incertitude », en quelque sorte un oxymore. Car les « Equilibres illusoires », les « Lignes rouges », ou les « Impermanences » qu’elle nous présente se rejoignent dans la perception sensible de l’artiste, qui voit autour d’elle un monde fragile, en perpétuel déséquilibre.

Chez Françoise Utrel la matière minérale est actuellement dominante, du moins sa représentation, son évocation par la peinture ou le dessin. La pierre, le galet, la roche offrent leur forme ou leur texture ; les pierres, ici devenues objets flottants acquièrent une identité nouvelle. Seraient-elles par mystérieuse lévitation devenues légères au point qu’il faille les ficeler pour les empêcher de s’envoler ? Ou bien dans d’autres tableaux, la texture, le grain de cette matière minérale représentée sur la toile, fusionnent avec un portrait qui aurait laissé son empreinte.

Françoise Utrel s’exprime sur le sujet du minéral :

« Le monde minéral auquel j'étais déjà très sensible s'est imposé à moi comme la métaphore de notre humanité. Nous ne voyons les pierres et les rochers que dans leur état d'aujourd'hui, mais nous oublions souvent qu'ils ont vécu une très longue histoire de cataclysmes, de sédimentation, d'érosion qui va d'ailleurs se poursuivre alors que leur état minéral semble d'une parfaite immuabilité. Leur solidité n'est qu'apparence. »

Françoise Utrel sera présente sur place les dimanche 23 et samedi 29 avril à 17 heures, pour rencontrer les visiteurs et les accompagner lors de riches échanges.

Par ailleurs, vendredi 5 mai à 18 heures, Michel Brissaud lui donnera la réplique dans une prestation de LECTURES A DEUX VOIX, en résonnance avec son exposition.

 

ABSOLUE INCERTITUDE, exposition de peintures de Françoise UTREL
ABSOLUE INCERTITUDE, exposition de peintures de Françoise UTREL
ABSOLUE INCERTITUDE, exposition de peintures de Françoise UTREL

LUX MATERIA, photographies par Eric Le Berder

2 Août 2022 , Rédigé par l'Espace Orlando

Photographies par Eric Le berder
Photographies par Eric Le berder
Photographies par Eric Le berder
Photographies par Eric Le berder

Photographies par Eric Le berder

Exposition et vente à l’Espace Orlando.

Communiqué pour la presse

 

Place de l’Eglise

Saint-Jean-Lespinasse, Lot (46 400) Du samedi 9 au dimanche 31 juillet 2022.

Entrée libre Téléphone : 05 65 38 74 33 – site Internet : http://espaceorlando.over-blog.fr Parking / Accès aux personnes à mobilité réduite

Du 9 au 31 juillet 2022, tous les jours sauf lundi, de 15 à 19 heures

« LUX MATERIA, mystère de la lumière »

par Eric Le Berder

Inspiration : 

Le travail photographique d’Eric Le Berder est basé sur les jeux d’ombres et de lumières, et ceux des reflets sur les objets, sur les matières. Les images qui retiennent son attention lui viennent souvent de cadrages très serrés sur le sujet, faisant ainsi se perdre tous repères et rapports d’échelle. Il joue aussi avec la paréidolie, mettant en conflit les yeux et l’interprétation que fait le cerveau des images vues. La paréidolie est une sorte d’illusion d’optique qui consiste à associer un stimulus visuel informe et ambigu à un élément clair et identifiable, souvent une forme humaine ou animale

Le Berder a abordé plusieurs thèmes et variantes de ses recherches photographiques à l’occasion d’expositions, notamment à la Maison des Consuls de Saint-Céré, au sein du collectif “Les peintres de l’Atelier” qu’il a rejoint depuis quelques années.  

Technique : 

Eric Le Berder a développé une technique de retouche de la photographie numérique utilisant un stylet avec une palette graphique qui donnent un aspect “peinture” à ses prises de vue. Puis il fait réaliser un tirage numérique sur une plaque d’aluminium brossé. Le sujet acquiert ainsi une brillance qui rehausse les couleurs, en fonction de la lumière ambiante ou de l’éclairage. 

Le Berder propose aux visiteurs de la présente exposition une généreuse sélection de ses œuvres, en plusieurs formats. Certaines vues sont « animées » de personnages photographiés lors de ses voyages. La plupart sont étonnamment non-figuratives, voire confinant à l’abstraction. 

Au-delà de la maîtrise technique, chez Eric Le Berder il y a avant tout l’œil du photographe et une capture exceptionnelle de l’instant, de la couleur, des proportions. Il a l’acuité de la perception, et le sens inné du détail, de l’animation par l’image pourtant fixe. Il nous transmet sa propre émotion, nous faisant partager sa joie de vivre, sa joie de découvrir ce qui était invisible pour le passant qui n’aurait perçu qu’un mur, une vitrine, une flaque d’eau banale.

Ce photographe de l’imperceptible ou du détail nous ouvre les portes d’un univers dont lui seul a les clés. Il nous fait partager sa version de ce que nous n’avions pas vu ; toujours avec le même enthousiasme réconfortant qui contraste avec notre monde en demi-teinte.

Expositions précédentes

à la Maison des Consuls ; Saint-Céré, Lot.

2016 : MAJORELLE : Les Jardins bleus

2017 : CHROMA Les Couleurs de Rome

2018 : MOROCCOLOR Les couleurs du Maroc

2019 : AQUALUX Histoires d’eau et de lumière

2021 : ARTéFACT Lumière et matière

 

2021 : « JOCONDES INSOLITES » exposition collective à l’Espace Orlando à Saint-Jean Lespinasse (46)

Photographies par DANIEL ROBLIN

2 Août 2022 , Rédigé par l'Espace Orlando

Daniel ROBLIN - Portraits, rencontres de pays lointains / Paysages du Limousin.
Daniel ROBLIN - Portraits, rencontres de pays lointains / Paysages du Limousin.
Daniel ROBLIN - Portraits, rencontres de pays lointains / Paysages du Limousin.
Daniel ROBLIN - Portraits, rencontres de pays lointains / Paysages du Limousin.
Daniel ROBLIN - Portraits, rencontres de pays lointains / Paysages du Limousin.
Daniel ROBLIN - Portraits, rencontres de pays lointains / Paysages du Limousin.
Daniel ROBLIN - Portraits, rencontres de pays lointains / Paysages du Limousin.
Daniel ROBLIN - Portraits, rencontres de pays lointains / Paysages du Limousin.
Daniel ROBLIN - Portraits, rencontres de pays lointains / Paysages du Limousin.

Daniel ROBLIN - Portraits, rencontres de pays lointains / Paysages du Limousin.

INSTANTS - œuvres photographiques de DANIEL ROBLIN

2 Août 2022 , Rédigé par l'Espace Orlando

Exposition et vente à l’Espace Orlando. 

ESPACE ORLANDO Place de l’Eglise Saint-Jean-Lespinasse, Lot (46 400).

Entrée libre Téléphone : 05 65 38 74 33 – site Internet : http://espaceorlando.over-blog.fr Parking / Accès aux personnes à mobilité réduite. Le bâtiment, dans lequel la circulation est aisée pour tous les visiteurs (monte-personne disponible), est doté de volumes d’exposition sur 3 niveaux.

Du 6 août au 4 septembre 2022, tous les jours sauf lundi, de 15 à 19 heures

« INSTANTS – œuvres photographiques » par Daniel ROBLIN

Daniel ROBLIN revient à l’Espace Orlando. Sa première exposition personnelle de photographies y fut présentée pendant l’été 2015. Depuis cette date, les expositions se sont multipliées (église de la Madeleine à Paris, plusieurs lieux à Brive-la-Gaillarde, Toulouse, Bordeaux, etc.). Il fut l’invité d’honneur de plusieurs festivals d’art photographique. Certaines de ses photographies ont été acquises par la presse et d’autres feront le tour du Monde avec le Groupe F ainsi que d’autres compagnies internationales de spectacles vivants.

Daniel ROBLIN est né à Vitry-sur-Seine, Val de Marne, en 1953. Il demeure en Corrèze. Les vacances de l’enfance chez un oncle pépiniériste, donneront à Daniel ROBLIN le goût d'aller voir ailleurs s'il existe ciel plus clément et des horizons plus verdoyants que ceux des zones urbaines de la région parisienne. Plus tard, il n'hésitera pas à ouvrir une galerie d'art en pleine campagne, avec le ferme objectif de toucher l'art et les artistes de plus près. Pendant six années avec son épouse Kedie, leur lieu de vie sera aussi celui de l’accueil d’un public varié dont de nombreux enfants de la région. C'est à ce moment que son propre jardin devient matière à expérimenter les techniques acquises et les sculptures d'artistes se mêleront à des créations personnelles. En 2005, il lui est demandé de photographier le festival Ecaussystème, à Gignac dans le Lot. L'inquiétude des premiers pas dans ce nouveau rôle fait place à un réel plaisir. Le spectacle vivant, comme celui du festival d'Aurillac, dans le Cantal, deviendra un sujet de prédilection. Mais ROBLIN ne se satisfait pas d'être spectateur. Il découvre que l'objectif peut permettre une relation à l'autre. Cette relation peut avoir été longuement souhaitée, lors d'un séjour chez les Hamers d'Ethiopie, par exemple. La même relation peut spontanément exister le temps d'un instant fugitif lors d'un concert ou devant un jeu théâtral.

Des voyages lointains, hors des chemins touristiques, seront riches de rencontres, au contact de personnes souvent restées anonymes, vues et photographiées dans leur intimité, leur quotidien, leur univers familier, ou leurs jeux, quand il s’agit d’enfants. Les pays visités – Rwanda, Yémen, Madagascar, Inde, Birmanie, etc.- ne sont pas ceux des circuits touristiques les plus populaires, et dans tous les cas Daniel et Kedie voyagent le sac sur le dos, se déplacent à pied ou avec les transports disponibles pour la population. Grand « baroudeur » au plus proche des populations qu’il découvre, Daniel ROBLIN invite à partager des portraits empreints de dignité, de compassion et d’humanité. Et souvent, très souvent, le regard du sujet est celui de l’échange, lors de la rencontre. Le regard est certainement celui de l’adulte ou de l’enfant que Daniel Roblin a su mettre en confiance ; car il ne l’aura pas agressé par sa présence ou celle de son appareil ; il l’aura d’abord approché avec bienveillance, établissant un dialogue de connivence, parfois muet car il n’y aura ni langage ni vocabulaire commun. « Pour moi chaque regard est une histoire, un bout d’humanité qu’il faut savoir se laisser conter ». Daniel Roblin. Dans un autre domaine il est récemment sollicité par une maison d’édition, pour illustrer six livres sur les sites et paysages remarquables du Limousin, de la Creuse, du Périgord, etc. L’exposition « INSTANTS » se partage alors très harmonieusement entre portraits émouvants de peuples lointains d’une part, et sites, panoramas plus proches de nous, d’autre part, magnifiés par la capture d’une lumière, d’un angle de vue insolite ou tout simplement d’une splendide harmonie de couleurs révélées par le photographe qui aura saisi l’INSTANT magique. Car dans tous les cas, que ce soit pour un paysage ou un portrait, le photographe n’aura réalisé qu’une seule prise de vue.

Une photographie par Daniel Roblin, c’est avant tout le reflet d’une émotion, l’intensité d’un moment saisi dans tout ce qu’il révèle de chaleur, de spontanéité, parfois de tristesse. Ses clichés sont connus, appréciés et collectionnés pour l’élégance et l’harmonie qu’ils dégagent.

L’exposition « INSTANTS » : une véritable invitation à l’émotion

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Quelques oeuvres de Georges CUEILLE

31 Mai 2022 , Rédigé par l'Espace Orlando

Quelques oeuvres de Georges CUEILLE
Quelques oeuvres de Georges CUEILLE
Quelques oeuvres de Georges CUEILLE
Quelques oeuvres de Georges CUEILLE

EXPOSITION "PAYSAGES" de Georges CUEILLE et hommage à Peter et Denise ORLANDO

31 Mai 2022 , Rédigé par l'Espace Orlando

La commune de Saint-Jean-Lespinasse et l’Espace Orlando vont honorer trois artistes. Du 23 avril au 8 mai, les portes du bâtiment situé sur la place de l’église seront ouvertes chaque après-midi pour présenter à la fois Georges CUEILLE et le couple Peter et Denise ORLANDO.

Le premier vit et travaille sa peinture à Saint-Jean-Lespinasse depuis 1960. Pendant six années il a tenu un atelier de céramique à Saint-Céré. Puis s’est consacré à la peinture, tout en assurant des missions de l’O.N.U. pour développer l’art local en Afrique, en Amérique Latine. En 1992 avec son épouse Maïa il crée le GROUPE DES CESARINES, une réunion de sept peintres professionnels de leur entourage, afin d’organiser collectivement des expositions dans le Lot et en Corrèze, jusqu’en 2002.

Dans l’exposition présentée à l’Espace Orlando, où tous les tableaux de Georges CUEILLE seront à vendre, outre les paysages, se trouvent quelques compositions non figuratives, ainsi que des sujets fleuris.

Les seconds sont décédés et ont laissé à la postérité, avec la complicité de la commune, un lieu d’exposition qui porte leur nom, ainsi que de nombreux tableaux et des céramiques de leur production. En 2021 ils auraient eu cent ans. Un hommage leur est rendu par une présentation extraite du fonds de leur donation, et quelques évocations de leur vie de couple uni depuis la libération de Paris après la Seconde Guerre Mondiale, qui vit débarquer l’Américain Peter Orlando.

Place de l’Eglise

Saint-Jean-Lespinasse, Lot (46 400). Du samedi 23 avril au dimanche 8 mai 2022. De 15 à 19 heures.

Entrée libre

Téléphone : 05 65 38 74 33

A L'AFFICHE en 2021

14 Janvier 2021 , Rédigé par l'Espace Orlando Publié dans #article

Du 3 juillet au 31 août 2021

 « JOCONDES INSOLITES.

Mona Lisa, hommages et détournements »

La Joconde, des Jocondes ? On ne présente plus la Joconde ?

LA JOCONDE, Mona Lisa, de Leonard de Vinci, sera-t-elle exposée à l’Espace Orlando de Saint-Jean-Lespinasse ? Eh non ! Elle n’est pas disponible, bien encadrée, bien protégée, bien visitée, au musée du Louvre, à Paris !

Mais des Joconde(s), il y en aura beaucoup, du 3 juillet au 31 août 2021.

Des Jocondes insolites, des Jocondes originales, des Jocondes en peinture, en photographie, en sculpture, en dessin, et autres supports parfois inattendus.

Et seront présentés également des détournements de son image par la caricature, la publicité, l’objet souvenir ou l’objet bibelot, l’objet domestique.        

Après votre visite à l’Espace Orlando, vous ne regarderez plus jamais la Joconde comme avant !

Puis vous pourrez la revoir chez vous : car nombre de Jocondes seront proposées à la vente, créées pour la plupart à l’occasion de cette exposition.

A L'AFFICHE en 2021

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Exposition 2019

15 Mai 2019 , Rédigé par l'Espace Orlando

Exposition à l’Espace culturel Orlando.

du 13 juillet au 15 septembre 2019.

Entrée libre

Téléphone : 05 65 38 74 33 – site Internet : http://espaceorlando.over-blog.fr

 

Parking / Accès aux personnes à mobilité réduite

 

L’Espace Orlando présente selon les années des artistes contemporains d’expressions diverses, ainsi que l’œuvre du couple d’artistes Denise et Peter Orlando.

Le bâtiment, dans lequel la circulation est aisée pour tous les visiteurs (monte-personne disponible), est doté de volumes d’exposition sur 3 niveaux.

 

Du 13 juillet au 15 septembre, tous les jours sauf lundi, de 15 à 19 heures

 

 « Pigments : poussières du soleil »

 

Peintures de Gilles Sacksick

 

Gilles Sacksick est animé d’une sorte d’énergie permanente, celle qui sans cesse le confronte avec plaisir au besoin de créer, par la peinture, un monde poétique. A peine sorti au printemps de cette année 2019, d’une exposition tout à fait inédite à Carennac, village baigné par la Dordogne, il se remet à l’ouvrage. Il propose à présent aux visiteurs et amateurs d’art un nouvel univers de peintures, à l’Espace Orlando, du 13 juillet au 15 septembre.

Sur les trois étages de ce lieu bien connu au nord du Lot, sont accrochés nombreux tableaux et lithographies, que l’artiste aura sélectionnés parmi ses œuvres récentes, voire très récentes.

 

« Pigments, poussières du soleil » : tel est le titre de l’exposition. Il est inspiré d’une formule du photographe Robert Doisneau qui a longuement fréquenté Gilles Sacksick : « Nous constatons, nous les observateurs attentifs, qu’après une période où tu arrachais les fantômes blottis dans l’ombre, tu te mets aujourd’hui à jongler avec la poussière du soleil. »

Les pigments : un tableau de Sacksick, ce n’est pas un dessin préalable chargé ensuite de peinture ; ce sont des pigments qui sous la main de l’artiste sortent du petit pot où ils sont conservés, et comme par enchantement viendraient d’eux-mêmes composer un paysage, une nature morte ou un personnage. Le labeur du peintre semble absent ; les pigments aux subtiles nuances transmettent l’apparence d’une économie de moyens. Le sujet est presque évanescent ; il semble flotter sur la toile, même lorsqu’il s’agit d’un paysage ou d’un village. Il est figuratif, certes, mais parfois réduit à une évocation plus qu’une forme, il frise l’abstraction. Ce qui intéresse le peintre, c’est de voir apparaître, d’aider à apparaître, davantage que représenter : c’est un éclair, mais il sera un éclair durable.

Les poussières du soleil : il s’agit bien du soleil qui projette une lumière diffuse, jamais directe, sur les choses représentées. Il semblerait que les ombres soient absentes, au premier regard. Ces ombres qu’un peintre utilise pour accentuer le relief, en réalité chez Sacksick elles font tellement partie de l’existence même de l’objet sur la toile, qu’elles aussi ont une présence. Elles sont poussières et elles accompagnent plus qu’elles ne soulignent. Le soleil est forcément présent, mais il est partout à la fois !

Quelques oeuvres présentées par Gilles SACKSICK

Gilles Sacksick est né en 1942 dans le 10ème arrondissement de Paris, à une époque où l’économie de moyens et l’austérité morale s’imposaient, surtout dans une famille pauvre. Il en conserve à ce jour une inclination à la sobriété en toute chose et en particulier dans son art, qui trouve ses origines aux premières années de l’enfance. « Aussi loin que remontent mes souvenirs (et ceux de ma mère !) je dessine. Je dessinais tout : la vie qui m’entourait, celle que l’on me racontait. »

Les années 1979-1981 sont importantes dans sa carrière, celles pendant lesquelles il sera pensionnaire de la Casa Velasquez, à Madrid, en Espagne. Il exposera en France, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, au Japon. Depuis 1997 sa peinture est très remarquée dans le Lot et la Corrèze, à la galerie d’art du Casino de Saint-Céré, à Loubressac, à Brive-la-Gaillarde, à Carennac, Figeac ou Vayrac.

Nostalgique du Casino où le couple de galeristes Andrée et Pierre Delbos lui furent fidèles jusqu’en 2013, Gilles Sacksick a souhaité exposer à nouveau au plus près de ce lieu à présent fermé. La commune de Saint-Jean-Lespinasse et l’association Orlando sont flattées de lui ouvrir les portes de l’Espace Orlando.

 

Exposition 2018

16 Juillet 2018 , Rédigé par l'Espace Orlando

 

L’Espace Orlando, depuis sa création en 2007, a présenté des artistes contemporains d’expressions diverses ainsi que l’œuvre du couple d’artistes Denise et Peter Orlando.

Le bâtiment, dans lequel la circulation est aisée pour tous les visiteurs (monte-personne disponible), est doté de volumes d’exposition sur 3 niveaux.

 

Du 7 juillet au 2 septembre, tous les jours sauf lundi, de 15 à 19 heures

 

 « Jean Lurçat, ses amis, ses élèves »

 

En 2016, l’Espace Orlando a participé aux célébrations du cinquantenaire du décès de Jean Lurçat - dans le cadre de manifestations diverses en France (à Paris, Angers, Aubusson et dans le Lot, en particulier en Pays de Saint-Céré) et en Allemagne - avec une exposition de lithographies du maître. Cette année 2018, du 7 juillet au 2 septembre, l’Espace Orlando présente une exposition inédite, issue de ses recherches et d’un ensemble d’œuvres collectées par les membres du Jean Lurçat Museum d’Eppelborn, en Allemagne, un musée riche de nombreuses créations de l’artiste Français.

 

Il s’agit cette fois de réunir des gouaches, lithographies, gravures, peintures, dessins et des tapisseries, du maître Jean Lurçat et des artistes dont il fut proche.

 

                       

 

  • Au cours de sa carrière, Jean Lurçat a côtoyé de nombreux écrivains, intellectuels, artistes, autant à Paris qu’à l’occasion de ses voyages, et pendant ses années de semi-clandestinité lors de la Seconde Guerre Mondiale. Sa peinture et sa tapisserie seront souvent présentes en galeries, pour des expositions collectives ou thématiques. Pour l’exposition de l’Espace Orlando, « Jean Lurçat, ses amis, ses élèves » des gravures et lithographies de Georges Rouault, André Derain, Louis Marcoussis, Jean Picart Le Doux, Marc Saint-Saëns et autres artistes fréquentés par Jean Lurçat sont accrochées aux cimaises.

 

 

  • A Aubusson et aux Tours Saint-Laurent, Jean Lurçat eut de nombreux assistants – élèves, travaillant sous sa directive pour l’exécution des « cartons » (épreuves grandeur nature sur papier) qui servirent à réaliser des tapisseries en ateliers et manufactures. Parmi eux, certains menèrent une destinée artistique ; plusieurs sont également présents dans cette exposition. Des tapisseries de Michel Tourlière, et Dirk Holger alors jeune élève allemand de Jean Lurçat, sont présentes ; de même que des créations d’artistes restés dans le voisinage de Saint-Céré, tels que Pierre Delclaux, Claude Brizay ou François Mielvaque.

 

                     

 

 

Dom Robert (1907-1997), à l’époque jeune moine bénédictin en l’abbaye d’En Calcat, à Dourgne (Tarn), fut initié à la tapisserie par Jean Lurçat, en 1941. Il a produit de très nombreuses pièces, aux sujets foisonnants, inspirés de la faune et de la flore qu’il observait dans les paysages voisins de la Montagne Noire. Des tapisseries de sa création sont exposées dans la tour maîtresse de l’Atelier-Musée Jean Lurçat à Saint-Laurent-les-Tours, d’avril à fin septembre 2018, dans le cadre de l’exposition « Dom Robert, semeur de joies ». L’Espace Orlando présente simultanément deux lithographies de cet artiste. Ces œuvres sont prêtées par le Musée Dom Robert de Sorèze, dans le Tarn.

 

 

Quelques oeuvres présentées en 2018

 

Les expressions artistiques de Jean Lurçat (1892-1966) sont évidemment présentes, sous la forme de petites tapisseries, de céramiques et de lithographies. L’exposition réserve par ailleurs la surprise d’œuvres de sa mère Charlotte Lurçat et de Rossane Timotheeff, sa seconde épouse.

 

 

Jean Lurçat est né à Bruyères, Vosges, en 1892. Dès 1912 il fréquente à Paris les milieux artistiques, mais la Première Guerre Mondiale interrompt ses débuts professionnels car il est deux fois engagé dans le conflit. Dès la fin de la guerre la carrière de Jean Lurçat prend forme, l’artiste voyage en Europe, expose, se lie d’amitié avec des peintres et le monde du théâtre. En 1928 on le retrouve aussi bien en Italie qu’aux U.S.A. à New York. Il s’exprime par la peinture, la lithographie, le décor et les costumes de théâtre ; mais c’est surtout la tapisserie qui fera sa réputation, à partir de 1933. Les ateliers d’Aubusson et des Gobelins (Paris) exécuteront des tentures à partir de ses cartons ; les commandes officielles et les acquisitions vont se multiplier. La Seconde Guerre Mondiale ralentira inévitablement sa production. En 1945, après une période d’activité dans le « maquis », au comité de libération du Lot, il acquiert les Tours Saint-Laurent, qui dominent la petite ville de Saint-Céré ; il y élit résidence en alternance avec Paris. Dans le château il réalisera de nombreux cartons de tapisseries. Sa fréquentation des habitants des environs fera de l’artiste une figure locale et populaire. Une grande quantité de cartons qui serviront à réaliser des tapisseries sera exécutée dans les salles d’atelier que l’artiste aménagera dans sa nouvelle demeure. Jean Lurçat décède le 6 janvier 1966, à Saint-Paul-de-Vence. Simone Lurçat, sa veuve, fait don du château au département du Lot. Il deviendra « Atelier-musée Jean Lurçat » en juillet 1988 et sera ouvert à la visite chaque année. Simone Lurçat décède en 2009.

 

 

Commissaires d’exposition : Matthias Marx et Philippe J. Graziano

Expositions de la saison 2017

28 Juin 2017 , Rédigé par l'Espace Orlando

 

L’Espace culturel Orlando, depuis sa création en 2007, présente des artistes contemporains d’expressions diverses ainsi que l’œuvre du couple d’artistes Denise et Peter Orlando.

Le bâtiment, dans lequel la circulation est aisée pour tous les visiteurs (monte-personne disponible), est doté de volumes d’exposition sur 3 niveaux.

 

Du 1er au 28 juillet et du 2 août au 3 septembre.

tous les jours sauf lundi, de 15 heures à 19 heures

 

« Céramique Orla (1953-1968) »

Céramiques et design

 

Denise Orlando est décédée à Saint-Céré le 10 février de cette année, quelques jours avant de pouvoir célébrer son 96ème anniversaire. Pendant l’été la mezzanine de l’Espace Orlando est dédiée à la présentation d’une sélection de pièces de faïence de Peter et Denise Orlando, issues de la donation faite à la commune de Saint-Jean-Lespinasse en 2004, et de prêts de collectionneurs privés.

 

Nous sommes à Paris au début des années 1950. Après la guerre, la France se reconstruit. D'un côté, les pragmatiques bâtissent, relancent la production, l'industrie. D'un autre côté, les penseurs, les artistes, les intellectuels laissent épanouir leur propre renouvellement.

Les arts décoratifs, les métiers d'art qui souvent seront rattachés au « design », sont en plein essor. De nombreux céramistes perpétuent la tradition (poteries et faïences utilitaires, carrelages décoratifs ou fonctionnels), ou innovent avec des objets réinterprétés, de formes et couleurs inédites.

Peter Orlando (1921-2009) américain échoué en France, épouse au sortir de la guerre Denise Delgoulet, jeune Parisienne de son âge. Il mène de front sa carrière de peintre et avec son épouse une production de pièces d'usage en céramique: services pour la table, vases, lampes, tables basses. Très vite il se distingue par des formes non conventionnelles, par le mariage maîtrisé de motifs abstraits et de couleurs fortes. Dans les années 50 et 60, c'est à la mode, mais aussi d'avant-garde; il faut séduire une clientèle « éclairée ». L'atelier Parisien de céramique Orla ouvre en 1953 ; il sera fermé en 1968, car le succès commercial n’est pas au rendez-vous et la santé de Denise est menacée par l’atmosphère poussiéreuse de l’atelier. Peter Orlando aura alors toute latitude pour se consacrer exclusivement à la peinture. A présent, depuis deux décennies, les amateurs et les nostalgiques du design passé redécouvrent les créations céramiques du couple. Les pièces de faïence Orla, Orlando, sont cotées sur le marché de l’art et se font rares chez les antiquaires spécialisés.

 

 

voir l'album des céramiques Orla

autres céramiques de Peter et Denise Orlando                                                     

                                   

 

Le grand volume de la salle Orlando ainsi que l’Atelier, reçoivent successivement les expositions de deux artistes contemporains :

 

Du 1er au 28 juillet, tous les jours sauf lundi, de 15 heures à 19 heures

 

Bernard Coignard

« Des endroits où aller »

peinture

 

Bernard Coignard vit et travaille à Albi, Tarn.

 

Il s’exprime sur son art :

« Petit fils du peintre Louis-Jules-Albert Coignard (1867-1928), je passe mon enfance à Paris où ma mère m’emmène au concert le dimanche et trouve souvent refuge dans les musées de la capitale. J'y découvre les peintres classiques et modernes. Au collège, un professeur d'art plastique nous montre des films sur Giacometti, Soulages, Hartung. A quinze ans, l'amour fou d'une danseuse étoile du Bolchoï me dirige vers le conservatoire, la chorégraphie et l'enseignement de la danse contemporaine. Ces années avec le monde de la scène nourrissent mes compositions et mes installations. J'aime que le spectateur se sente accueilli, je préfère retirer une toile plutôt qu'en ajouter une, et créer une relation émotionnelle et poétique avec le monde.

 

Mes peintures ne peuvent être définies comme abstraites : elles sont des images subliminales, oniriques, de paysages vus, bien que je ne travaille pas sur le sujet.

 

Vitesse excitante de l'acrylique et patience apaisante de l'huile jalonnent mon travail que j’effectue avec des outils variés allant du petit couteau de peintre à larges spatules de bâtiment en inox, des tringles à rideaux, de longues baguettes de bois. Des brosses à papier peint, de gros pinceaux ronds et plats ainsi que de minuscules outils sont utilisés suivant mon inspiration.

 

Il y a une relation interdépendante très forte entre l'outil et le projet qui doit être maîtrisée. »

 

 

EXPOSITIONS RECENTES

Paris. « Carte blanche aux couleurs » Port-Royal (14ème) – Novembre 2014

Rabastens, Tarn. « Interstices » - Eglise Saint-Pierre-des-Blancs – Mars/Avril 2015

Paris. « Sarcler les couleurs » – Hôpital Georges-Pompidou – Oct/Nov 2015

Tarbes, Tarn. Conservatoire de musique et de danse – Janvier/Février 2016

Lescure d’Albigeois, Tarn. Chapelle Saint-Michel – Août/Sept 2016

Paris. Grand Marché d’art contemporain – Octobre 2016

Paris. Institut Médical Montsouris – Octobre 2016/Mars 2017

Réalmont, Tarn. Espace Intercommunal – Janvier/Février 2017

Aigues Mortes, Gard. « Sillonner ciel et terre ». Chapelle des Capucins.- Avril / mai 2017.

 

Site Internet de l’artiste : http://bernard-coignard.fr

 

voir l'album de Bernard Coignard :

 

 

 

Du 2 août au 3 septembre, tous les jours sauf lundi, de 15 heures à 19 heures

 

Yvonne Calsou

« Zones fragiles »

 

Yvonne Calsou vit et travaille à Toulouse, Haute Garonne.

 

Elle s’exprime sur son travail et cette exposition « Zones fragiles ».

« Mon travail artistique est une affaire de temps. Le temps passé, celui des souvenirs.  Ces souvenirs que l’on chérit et qu’à la moindre occasion, on ré-enchante, redessine, édulcore et ressasse avec  un brin de nostalgie comme pour occulter les plus sombres, ceux que l’on rêverait de ne pas avoir vécus et qui resurgissent parfois sans crier gare.

 

Le temps présent, cet instant brévissime, ce presque rien comme l’évoque Vladimir Jankélévitch, pris en sandwich entre « pas encore », et dans le « jamais plus ». Ce temps qui file en  laissant de son passage un «je ne sais quoi» insaisissable.

 

Mes outils sont multiples : le dessin, la photographie, les installations, la vidéo, le son, le livre d’artiste.

 

Mon vocabulaire plastique joue des mises en opposition : noir /blanc, ombre/lumière, opacité/transparence, intérieur/extérieur, apparition/disparition, matérialisation/dématérialisation,

son /image. 

 

Mon intention : interpeller le regard, bousculer les représentations, perturber les perceptions et surtout faire vivre l’art comme une expérience sensible de l’instant.

Cette exposition Zones Fragiles présentera des œuvres extraites des séries explorant les zones de mémoire à travers un travail sur la trace, l’altération liée au temps, l’effacement et la fragilité.

 

Nocturne : Cette série est basée sur la remémoration des paysages de mon enfance. Tel un oxymore, la lumière est au centre de cette série et l’obscurité, son pendant, le lieu même de projection symbolique entre dramatisation et mise en lumière. 

Nuit et brouillard, co-production les Ateliers des Arques/EHPAD de Catus, dans le Lot, cette série réalisée pendant une résidence d’artiste en présence des résidents poursuit la recherche formelle de la série nocturne tout en explorant aussi la question de l’effacement, la disparition de l’image, la trace.

Instantanés : basée sur le relevé d’ombres de mobilier de jardin, cette série  réalisée par « bleaching » (décoloration à la javel) tente de fixer ces images fugitives et évanescentes de la saison estivale.

 

Portraits d’arbres et Polyflore   

Ces deux séries sont entre représentation et impression entre carnets de nature, visions naturalistes et planches anatomiques ; formes et volumes apparaissent en fonction des traces laissées par les retraits du surplus d’encre et des zones d’évanescences où le dessin se dilue dans le blanc de la feuille laissant au regard le soin de compléter la forme. 

 

Houles:

 Recherche d’une force d’expression similaire à celle de la nature, cette série d’instants figés est aussi un questionnement sur la perspective où le vide s'immisce comme un appel à plonger dans le plein de la matière en mouvement. »

 

 

       

EXPOSITIONS INDIVIDUELLES RECENTES

2017 Œuvre dans l’espace public, L’ombre, friche de l’ancienne caserne Niel, Toulouse (31)

2016 Œuvre dans l’espace public, A la croisée des saisons, création  en résidence, Gourdon (46)

Galerie l’Acadie, Espaces avec figures absentes, Cajarc(46)

Galerie de l’atelier des Bains-Douches, Matière noire & poussière blanche, Saverdun (09)

2015 Milletiroirs/Centre Hospitalier du Pays d’Olmes, Points de vue, exposition de fin de résidence Lavelanet (09)

Exposition éphémère Matières Noires,  Marseille (13)

Les Ateliers des Arques/EPAHD de Catus, 9 semaines, 6jours et 3nuits, partie 2, exposition de fin de résidence, Les Arques (46)

2014 Les Ateliers des Arques/EPAHD de Catus), 9 semaines, 6jours et 3nuits, partie 1, exposition de fin de résidence Catus, (46)

 

Site Internet de l’artiste : http://yvonne-calsou.blogspot.fr

 

 voir l'album d' Yvonne Calsou

Décès de Denise Orlando

12 Février 2017 , Rédigé par l'Espace Orlando

Décès de Denise Orlando

Le vendredi 10 février 2017, Denise ORLANDO, bien affaiblie depuis quelques temps, nous a quittés dans sa 96ème année.

Nous l'avons accompagnée le mardi 14 février à 11 heures,                                                          au cimetière de Saint-Jean-Lespinasse, où elle a rejoint son époux Peter.

Les membres du bureau                                                                                               Association Orlando

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